C’est désormais clair : La communauté internationale a reconnu l’échec du CPT. Incapable de rétablir la sécurité ni d’organiser des élections crédibles, le CPT n’a pas rempli ses engagements.
La décision est déjà prise : Pas besoin d’attendre le 7 février. Tous les acteurs ayant contribué à la mise en place du CPT ont été consultés, et la majorité a admis son échec.
Deux options sont actuellement à l’étude pour sortir de cette impasse :
- Réduction du CPT à 3 membres, choisis parmi :
•La classe politique
•La société civile
•Le secteur privé - Nomination d’un juge de la Cour de cassation à la tête de la transition, accompagné d’un gouvernement de consensus dès le mois d’août.
L’heure est grave. Le pays ne peut plus attendre.